Le Musée de la chasse.
Documents et objets anciens ou récents ayant trait à la chasse.
Ce permis de chasse a été délivré à Claudien DUBREUIL le 7 septembre 1891, à Corbeil (Seine et Oise).
Son prix, 28 francs, était égal à 1 mois de salaire d'un ouvrier agricole.
Un peu de rangement en cette période de canicule..
Et ce petit 45 tours vinyle qui me rappelle bien des souvenirs d'il y a plus de 50 ans.
Non, ce n'est pas moi qui les vends.
Mais Le Bon Coin en est plein de ces vieilles cages de bois qui ont tant servi et qui sont désormais remplacées par les cages en matière plastique.
Vendues par lots à des brocanteurs ou au détail à des particuliers (4 € pièce, celles-ci), elles finiront comme objets décoratifs.
Faute de voiture, j'avais aménagé sur mon Solex une petite plateforme en bois. Capi ne se faisait pas prier pour monter, il s'asseyait sur la plateforme et mettait ses pattes avant sur le guidon ! Bien calé entre mes jambes, je le transportais ainsi pour aller à la chasse.
Ces gobelets de terre vernissée, en provençal "tarraieto", équipaient autrefois les cages à appelants. Ils sont aujourd'hui remplacés par des gobelets en plastique moins élégants mais plus fonctionnels.
C'était en 1964, j'avais 17 ans, autant dire que c'était hier...
En ce temps béni la place pour chasser ne manquait pas.
Le groupement "Côteaux et Plaines du Comtat" rassemblait alors 11 communes du Vaucluse, totalisant près de 19000 hectares.
Et un de plus dans ma bibliothèque de chasse.
Le tître est trompeur, il s'agit d'une édition de Janvier 19 broché, 208 pages, photos N&B et nombreuses planches.
Auteur: André PHILIPON, Saint Hubert-club de France, in8
Voilà une forme qui a plus de 50 ans, très légère (c'est du balsa).
Aujourd'hui elle continue à voler, suspendue à une "potence", tournoyant au gré des vents, ce qui lui confère une grande attractivité.
Je pense qu'autrefois, elle était mue par un moteur electrique et devait tourner comme un tir-aux-pigeons en quelque sorte.